Circle of Life
On l’avait aimé dès sa venue au monde. Morpheus, son père, avait convoqué tous les proches afin qu’ils puissent constater sa progéniture. Un petit bébé qui, à peine né, avait été promu à un merveilleux avenir. Fils unique, fils premier, il était la fierté de ses parents alors qu’il venait tout juste de pousser son cri. Sarah King, sa mère, l’avait couvée du regard, le fixant de ses yeux si doux. Elle avait l’impression de pouvoir communiquer avec lui ne serait-ce que par ce simple contact visuel et peut être que c’était vrai. Les hommes avaient félicité le nouveau père en lui affirmant que c’était un beau nourrisson et qu’ils espéraient, non ils étaient sûrs qu’il ferait honneur à son nom. Mais ce n’était pas ce que Morpheus attendait de son fils. Il le voulait heureux, qu’il choisisse de faire ce qu’il voulait. Certes, il l’obligerait à reprendre le parcours familial, obtenir une place au Ministère de la magie comme tous ses ancêtres. Cependant, il ne le pousserai à rien, il l’éduquerait comme il le devrait, il l’aimerait comme il le faudrait et il lui lèguera tout le courage qu’il contenait. Car il serait son père, son mentor mais aussi son meilleur ami et c’est en regardant son tout jeune fils qu’il avait souri à cette pensée. «
Bienvenue dans la famille Simeon »
I just can't wait to be king
Il avait dix ans lorsque Morpheus l’avait amené pour la première fois à son bureau. Il était Ministre de la Justice Magique, un rôle qu’il avait accepté avec honneur alors qu’il n’était qu’un jeune Auror. Alors oui, Simeon était très fière de son père, il l’admirait et son seul désir était de lui ressembler. Devenir aussi grand, aussi fort et aussi brave que lui. Du haut de ses dix années, il s’en croyait déjà capable ce qui lui avait attiré de nombreux problèmes.
Sautant sur le grand fauteuil de son père, il avait commencé à attraper des papiers qui trainaient par-ci par-là. «
Et tout ça c’est à toi ? » De ses yeux pétillants de curiosité, il avait commencé à ouvrir les tiroirs alors que son père ne faisait que l’en empêcher, appréciant de garder de l’ordre dans son bureau. «
Oui, tout ce que tu vois ici est à moi » Morpheus avait attrapé son fils et l’avait porté sur ses épaules. Ils avaient passé la porte et le jeune Simeon avait observé chaque personne, chaque lieu qu’il voyait. «
Papa, il y a quoi derrière cette porte ? » Le Département des Mystères, voilà ce qu’il y avait. Morpheus n’appréciait pas spécialement cet endroit. Peut-être parce qu’il s’était passé de nombreuses choses affreuses par le passé ou peut-être tout simplement pour les personnes qui y travaillaient ? «
Il n’y a rien. Je t’interdis d’y aller. » De son air sévère, il l’avait descendu de ses épaules pour le ramener chez eux au manoir des King.
A peine rentré chez lui, le jeune Simeon avait couru vers son oncle. Une personne terne et froide qui restait très souvent seule dans un coin obscure. Il ne se mêlait que très rarement aux festivités mais notre bambin ne se posait même pas la question. Il l’aimait bien et trouvait son aspect repoussant des plus amusants. Aussi, comme le lui avait appris son père : il était un King et les liens de la famille se devait être forts entre eux. Mais lorsque son oncle l’avait vu venir, il avait soupiré, agacé par ce pantin vivant qui empoisonnait ces journées depuis sa naissance. Il lui avait alors raconté sa journée, extasiant le potentiel de son père, un potentiel que
lui n’avait pas connu. «
Donc ton père t’as montré tout le Ministère ? Même ce qu’il se cachait derrière la porte noire ? » Avec une moue boudeuse, le jeune Simeon lui avait répondu par la négative. «
Il a bien raison ! Le département des Mystères n’est pas un endroit pour un enfant ! » Il avait mimé un visage désolé, comme s’il s’en voulait réellement d’avoir dévoilé ce « secret » à son neveu. Il lui avait fait promettre de ne pas y aller, sachant pertinemment qu’il ne lui obéirait pas.
Mais, les occasions pour retourner au Ministère avaient été si faibles que ce n’est qu’à l’âge de douze ans qu’il avait proposé à sa meilleure amie de l’y accompagner. Ils avaient suivi Morpheus et avaient réussi à atteindre son lieu de travail. Cependant, leur discrétion n’avait pas été suffisante, le majordome et meilleur ami de la famille les avait rattrapés alors qu’ils venaient tout juste de pénétrer dans la salle. Il leur avait ordonné de faire demi-tour mais Simeon, si fière et sûr de lui, avait répondu qu’il n’avait peur d’absolument rien et que tous devaient le craindre
lui Des ricanements s’étaient faits entendre. Son cœur manquant un battement, il avait rejoint ses amis, scrutant l’obscurité de la pièce à la recherche d’autres visages. On avait parlé, on s’était moqué de lui mais Simeon leur avait répondu sans aucune crainte. Puis, une diversion faisant l’affaire, ils avaient réussi à les fuir sans pour autant quitter la salle. On leur avait couru après, jetés des sorts et j’en passe. Puis, dans ce labyrinthe des Mystères, ils n’avaient réussi à atterrir que sur un mur. Cul-de-sac. Alors, Simeon, prenant son courage à deux mains, avait essayé de protéger son amie, lançant de vulgaires sorts de deuxième année à ses ennemis. Ils avaient ris, amusé par tant de faiblesse. Mais leurs sourires s’étaient effacés lorsqu’ils avaient été touchés par un Petrificus Totalus. Morpheus, arrivant en courant vers la scène, le regard sombre et sévère s’était approché des trois poursuivants. Il les avait menacés et eux, terrifiés, étaient partis. Il avait essayé de s’expliquer auprès de lui mais il n’avait rien voulu entendre.
Sur le chemin du retour, il avait demandé au majordome de ramener la demoiselle chez elle, désirant se retrouver seul avec son fils. Apeuré, Simeon s’était approché de lui. «
Tu m’as désobéis délibérément. » «
Je sais … » «
Et pire que ça tu as mis la vie de ton amie en danger. » Et il avait laissé le silence planer entre eux, n’osant pas lever les yeux pour affronter le dur regard déçu de son père. Finalement, il avait réussi à lui avouer ce qu’il avait sur le cœur, lui avouer à quel point il voulait lui ressembler et lui montrer qu’il était tout aussi brave que lui. «
Je ne suis brave que quand il le faut. » Seulement là, il avait osé le regarder. Il l’avait vu sourire et alors il n’avait pas pu s’empêcher de l’imiter. Morpheus avait attrapé son fils par le cou et lui avait frotter le haut de son crâne. Une nouvelle chamaillerie avait commencé entre les deux, les rires fusants et la joie ayant remplacé la colère. Puis, le calme ayant repris les deux King, ils s’étaient allongés dans l’herbe de la demeure, regardant les étoiles qui brillaient là haut dans le ciel. «
Papa ? On est super copains ? » «
Oui » Et il le pensait car c’était ce qu’il avait voulu dès le départ. Être son ami comme il serait son père, voilà ce qu’il avait toujours désiré. «
Rien ne nous séparera jamais ? » Le sourire innocent que Simeon avait arboré alors que son père redevenait solennel. «
Simeon, je vais te raconter ce que me disait mon père. Regarde le ciel, nos ancêtres nous contemplent du haut des étoiles. Chaque fois que tu te sentiras seul n’oublies pas que tous seront là pour te guider et que je serais parmi eux. »
To die for
Son oncle et lui marchaient dans les rues, en silence. Simeon ne savait pas où ils allaient mais il faisait confiance à son aîné. Pour lui, la famille était une valeur sûre et il savait qu’il était en sécurité avec lui. Quand bien même ils se trouvaient dans un quartier des plus étranges, il se disait qu’il y avait une raison rationnelle à cela et que tout irait bien. Puis, ils s’étaient arrêtés dans une ruelle. L’oncle lui avait commandé de rester là sagement pendant que Morpheus viendrait le retrouver pour lui offrir un certain cadeau. «
Et je vais l’aimer la surprise ? » L’étincelle de joie et de vivacité qui pétillait dans son regard était si adorable que l’homme avait eut envie de vomir. «
A en mourir. » Alors, le cœur de Simeon s’était mis à battre un peu plus fort, trop excité et impatient de recevoir cette nouvelle de son père.
Se retrouvant alors seul dans la ruelle, le jeune King avait commencé à jouer de sa baguette, utilisant le sortilège du Wingardium Leviosa pour faire lever les papiers et autres déchets qui l’entourait. Et alors qu’il était bien concentré dans son œuvre, il n’avait pas pris tout de suite conscience de la situation. Il entendait des rires dans son dos, stridents et glaçants qui lui avaient rappelé son enfance. Il s’était retourné et, avec horreur, avait découvert de l’eau qui commençait à s’approcher dangereusement de lui. Oui, une vague, déferlant dans la ruelle comme une horde de gnou déchainée. Simeon avait beau savoir nager, il savait que le courant l’emporterait et qu’il serait noyé assez rapidement. Alors, il avait couru, aussi vite qu’il l’avait pu et cherchant vainement une échappatoire mais n’en trouvant aucune. Finalement, il avait réussi à grimper sur un rebord de fenêtre auquel il s’était accroché fermement, attendant et espérant que le courant passe et qu’il survive. Mais c’était une illusion. Lorsque la vague le frappa, il tomba.
Et on l’avait rattrapé. Il avait rouvert les yeux pour se découvrir dans les bras de son père. Assis sur son balais et le regard sérieux il regardait droit devant lui et espérait trouver une nouvelle issue pour les sortir tous les deux de là. Mais l’eau devenait de plus en plus violente, de plus en plus forte, si bien qu’il avait préféré laissé son fils sur le rebord le plus proche et le plus sûr plutôt que d’attendre une nouvelle occasion. Il savait, il sentait au fond de lui qu’il risquait d’y avoir des dégâts mais la gravité lui était encore inconnue. Simeon observait avec panique le torrent qui passait devant lui. Où était son père ? Que faisait-il ? Mais il n’avait pas eu le temps de réfléchir plus qu’un cri avait raisonné dans son esprit. Un hurlement de douleur qui hantera le petit King jusqu’à la fin de ses jours. Il avait vu son père tomber dans l’eau, avalé par les vagues démoniaques qui les avaient attaqués.
Puis, l’eau était passée, Simeon avait pu descendre de son perchoir et d’une voix tremblante avait appelé son père. Il gardait espoir au fond de lui qu’il soit toujours en vie, qu’il apparaisse d’un coup et lui sourit, ou le regarde sévèrement en lui demandant encore quelle bêtise il avait faite mais il ne le voyait nul part enfin presque. Un corps, massif et fort, allongé sur le sol humide de la ruelle se tenait là, à quelques mètres de lui. D’une voix timide et tremblante il avait appelé, cherchant une réponse ou n’importe quel signe de vie de sa part. Mais il n’avait rien eut à part un silence. Il s’était approché de son père, lentement, trop peureux de connaître une réponse qu’il aurait peut être préféré ne pas connaître. Et, il l’avait regardé, les yeux clos et le corps dénué de vie. Il savait qu’il ne lui répondrait pas mais il avait espéré un miracle. Il l’avait secoué, il lui avait commandé d’arrêter cette plaisanterie et de rentrer avec lui à la demeure mais Morpheus n’avait pas bougé un cil. Alors, la réponse le percutant de plein fouet, il avait senti les larmes couler sur ses joues et avait appelé avec désespoir de l’aide. Mais c’était vain, plus rien ne ferait revenir son père. Il s’était donc allongé près de lui, passant son bras par dessus de ses épaules comme s’il l’enlaçait, comme il le faisait lorsque Simeon était un jeune enfant. «
Simeon, qu’est-ce que tu as fait ? » La voix de son oncle l’avait sorti de sa solitude et il l’avait regardé, tentant de se justifier, expliquant que tout cela n’était qu’un accident. Il s’était montré compréhensif envers son neveu, l’avait pris dans ses bras pour essayer de le consoler. «
Qu’est-ce que ta mère va dire ? » A cette question, le jeune King avait percuté. C’était
sa faute si Morpheus n’était plus de ce monde et à peine imaginait-il le regard de sa mère lorsqu’il lui annoncerait ce décès, qu’il se sentait mal. «
Qu’est-ce que je peux faire ? » «
Pars, loin, et ne reviens jamais. » Et c’était ce qu’il avait fait. Il s’était retourné et avait couru aussi loin qu’il l’avait pu, cherchant à fuir ses problèmes, sa culpabilité et son identité car alors dès ce jour il n’était plus Simeon King, il ne se sentait plus digne de porter un tel patronyme. C'était donc âgé de seize ans qu'il avait quitté son monde de richesse pour en trouver un nouveau à l'opposé.
Hakuna Matatata
Pendant deux jours il avait marché sans savoir où il irait. Il ne savait même plus où il se trouvait et s’en moquait. Qu’il meurt maintenant, ça lui importait peu. Il n’avait pas mangé et n’avait pas bu depuis son départ si bien qu’il s’était effondré par terre, trop faible pour continuer son périple, trop faible pour continuer à vivre. Il s’était dit que si la mort venait à le prendre lui aussi, il s’en moquerait et s’était même fait la remarque qu’il le mériterait. Il était responsable de la perte de Morpheus King, sans lui, sans ses erreurs et sans sa présence il serait toujours en vie. C’était lui le noble, celui qui méritait de survivre et non Simeon. Non, il ne s’appelait plus ainsi. Simeon était un nom bien trop honorable pour l’être qu’il était. Un déchet, une erreur, voilà comment il se voyait. Il avait trahi les siens et était désormais ce qu’on pouvait appeler : un paria.
Lorsqu’il s’était réveillé, ce n’était pas par terre mais dans un lit. Un lit plutôt dure et inconfortable mais chaud et à l’abri. Un homme s’était approché de lui et avait appelé quelqu’un. Il lui avait demandé comment ça allait, lui avait expliqué que lui et son ami l’avait sauvé mais Simeon s’en moquait. Il s’était levé de lit et avait commencé à partir remerciant les deux hommes de leur « aide » de son air déprimé et triste. «
Hé, où tu vas comme ça ? » «
Nul part… » Oui, il marchait, partait loin de son monde, sa vie qu’il avait connu et qui ne lui appartenait désormais plus. Mais ils n’avaient pas lâché l’affaire. Ils étaient revenus vers lui, lui demandant ses origines et ce qu’il lui arrivait. «
Qu’est-ce que ça peut faire ? Je ne peux plus y retourner de toute façon… » «
Oh tu es un hors-la-loi ? Ca tombe bien ! Nous aussi ! » Il les avait regardé un peu intrigué, mais avait continué la discussion. Ils avaient une fois de plus proposé leur aide mais il l’avait refusée, déclarant qu’ils ne pouvaient changer le passé. «
Tu sais gamin, dans les moments comme ça on dit toujours : ne regarde jamais en arrière. Car quand le monde te persécute tu ne peux rien faire contre ça, n’est-ce pas ? » «
Ouais. » «
FAUX ! Quand le monde te persécute, tu te dois de persécuter le monde ! » Il avait ouvert des grands yeux étonnés. Ce n’était pas l’éducation qu’on lui avait apporté, c’était bien trop différent. Alors, ils avaient commencé à lui parler, à lui apprendre leur mode de vie et comment
eux avaient réussi à survivre face aux regards du monde.
Pendant deux ans il avait vécu en leur compagnie, abandonnant Poudlard de peur d’y retrouver d’anciennes connaissances. Il vivait en leur compagnie, ne leur révélant jamais sa véritable identité ne son passé , se faisant appeler Orpheus Gink. Il les aimait beaucoup et il les avait accepté comme une deuxième famille. Aucun ne parlait du passé, c’était quelque chose qu’on ne pouvait plus changer et les trois amis préféraient vivre désormais dans le présent. Puis, alors qu’il avait dix-huit ans, Simeon avait décidé de retourner à l’école. Walter Elias avait conscience de sa véritable nature mais avait fait promettre de ne la dévoiler à personne. Alors il était retourné en sixième année, restant à l’écart des autres et ne cherchant pas à se mêler aux autres. Il voyait de temps en temps son amie d’enfance, mais ne la côtoyait jamais, préférant la fuir plutôt qu’autre chose. Il refaisait alors sa vie tranquillement sous le nom de Orpheus, niant les gens qui remarquaient une ressemblance avec le King. Tous ces évènements du Mage Noir qui se déroulaient dans le monde magique étaient vains pour lui et même s’il trouvait cela abjecte et se disait que son père aurait agis plus efficacement que tout le monde, il préférait ne pas y penser et se concentrer sur ses études. Car il voulait devenir Auror, trouvant ce titre plus gratifiant que paria. Certes il adorait ses deux nouveaux amis, mais il ne pouvait pas rester vivre ainsi avec eux. Il faudrait un jour qu’il pense à son avenir et ce titre était sûrement la seule chose la plus honorable et plus accessible qu’il pouvait se permettre.
today it's a mess
Il est sorti de l’ombre. Il ne peut pas rester ainsi sans rien dire. Le courage et la justice qui l’habite, tous les principes qui ont fait de lui ce qu’il est. Certes il ne se présente toujours pas sous le nom de Simeon, non c’est comme si aujourd’hui cette personne n’existait plus. Et pourtant il tenait à se battre. Certes il y avait eu ce long mois durant lequel il avait essayé de comprendre toutes ces significations, toutes ces informations qui lui étaient parvenues d’un coup. Walter Elias était le Mage Noir ? Et lui n’était pas de ce monde ? Il faisait parti des … Disney ? Quand bien même il ne savait pas ce que cela signifiait, il s’était senti comme effrayé et désemparé ne sachant plus qui il était. Puis des souvenirs lui étaient revenus en mémoire et ça lui importait peu qu’on lui demande de coller une lettre sur ses habits pour le reconnaître il était ce qu’il était. Alors aujourd’hui la guerre n’était plus simplement axée sur les moldus mais bien sur eux, les « disney ». On avait peur d’eux et on les accusait de tout alors qu’ils étaient comme tout le monde. A de nombreuses reprises, Orpheus s’était fait bousculé et insulté simplement pour ses soi-disant origines. Mais on ne pouvait pas en rester là. Il essayait de se rebeller à de nombreuses reprises – chaque fois qu’on s’en prenait à plus faible en fait – jusqu’à ce qu’une main vienne l’arrêter. Il n’y avait plus d’Ordre du Phénix, il n’y avait plus d’aide pour les pauvres mais c’était ce qu’on croyait. Au troisième mois il prit connaissance de l’existence de la Rose Ecarlate et il se mêla au groupe. Aujourd’hui, il a beau se proposer à n’importe quel combat, on le repousse et on lui demande de rester calme. Il est comme un lion en cage, tournant en rond en attendant de sortir et d’attaquer.